Le président Denis Sassou N’Guesso avec le sénateur français, Christophe André Frassa et sa suite
Le sénateur français, Christophe André Frassa a rendu hommage à Denis Sassou-N’Guesso pour son engagement à rechercher et à préserver la paix en Afrique. A la tête d’une délégation des parlementaires français, en séjour de travail à Brazzaville, il a été reçu en audience par le chef de l’Etat congolais, le mercredi 17 avril 2019, à la résidence du plateau.
Christophe André Frassa, représentant les français établis hors de France dirige le groupe d’amitié Congo-France. Son échange avec Denis Sassou N’Guesso a porté sur plusieurs sujets d’intérêts communs. Les deux interlocuteurs ont fait le point sur la coopération franco-congolaise, tout en établissant des passerelles sur l’avenir. Ils ont également évoqué l’incendie de la cathédrale Notre Dame de Paris, selon le sénateur français qui s’est livré à la presse à sa sortie d’audience.
Le président Denis Sassou N’Guesso, entretien avec le sénateur français, Christophe André Frassa et sa suite
Christophe André Frassa a fait aussi savoir que sa rencontre avec le chef de l’Etat congolais visait à bâtir, un nouveau modèle de partenariat entre les sénats français et congolais. Pour lui, les deux pays devaient en permanence vivifier et moderniser leurs relations vieilles de plusieurs décennies. Les différents problèmes de la Région ont également suscité l’intérêt des deux hommes, qui se sont, par ailleurs, focalisées sur le Congo, avec le rôle que joue le président de la République.
De par son expérience et son expertise, il n’abdique nullement à s’impliquer dans la recherche des solutions aux crises africaines, a relevé Christophe André Frassa qui s’est appuyé sur l’exemple de la mission qu’assume le chef de l’Etat congolais dans le règlement des conflits, à l’instar de la Libye, ce dont le cadre de l’Union Africaine.
Pour le sénateur français, Denis Sassou-N’Guesso, « fait partie des voix qu’il faut considérer, pour essayer de trouver, ensemble, des voies d’apaisement pour le continent ».
Presse présidentielle
Le président cubain en entretien avec la délégation congolaise
Le président cubain, Miguel Diaz-Canel, a reçu mardi à la Havane le ministre des Affaires étrangères de la République du Congo, Jean-Claude Gakosso accompagné du ministre de l’Enseignement supérieur, Bruno Jean Richard Itoua et de l’ambassadrice de la République du Congo à Cuba, Rosalie Kama-Niamayoua.
Jean Claude Gakosso était porteur d’un message du président de la République du Congo, Denis Sassou-N’gueso à son homologue Cubain Diaz-Canel sur l’état positif des relations bilatérales.
La rencontre avec la délégation congolaise a permis aux deux parties d’échanger sur les relations qui existent si heureusement entre Cuba et le Congo, elles sont convenus de continuer à les développer, a indiqué un communiqué officiel.
Le chef de l’État cubain et le chef de la diplomatie congolaise ont également discuté de diverses questions liées à l’actualité internationale.
Le nouveau représentant du Secrétaire général des Nations unies pour la région des grands lacs entame sa première mission en République du Congo".
C'est le 1er avril dernier que le tout nouveau représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies a pris ses fonctions. Ainsi, pour son premier déplacement, Xia Huang a choisi la République du Congo, où il a été reçu en audience par le président Denis Sassou-N'Guesso, ce 18avril 2019, rencontre au cours de laquelle le fonctionnaire onusien a recueilli des recommandations et quelques orientations de son hôte.
" C'est ma première sortie et c'est une occasion pour moi d'écouter les hautes personnalités des pays signataires de l'accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération en Rdc et la région. Le président Sassou-N'Guesso est un chef d'État qui a beaucoup d'expérience dans la gestion des dossiers très délicats, très difficiles, et donc c'est une occasion très importante pour moi d'écouter un chef d'État aussi sage que le président Sassou-N'Guesso".
Tels sont les propos de Xia Huang à sa sortie d’audience. Xia Huang s'est satisfait des nombreux conseils que lui a prodigués le président de la République du Congo, qui lui a aussi livré ses propres réflexions, lesquelles restent susceptibles de l'aider dans l'élaboration d'un plan de travail pour sa mission.
"Ses conseils, ses propositions sont des éléments très importants, des sources d'inspiration pour moi et, je sais que cette sous-région connaît aussi des élans favorables, des évolutions encourageants. Il y a des tensions, il y a quelques braises, c'est à nous de travailler ensemble pour savoir comment encourager, favoriser ces élans favorables, calmer ces tensions, tout en apportant notre contribution, pour que ces tensions s'inscrivent dans la logique de la désescalade, c'est dans l'intérêt de tous ces pays de la sous-région" a indiqué le nouveau représentant du Secrétaire général des Nations unies pour la région des grands lacs.
Le diplomate onusien a notamment évoqué la situation stable du Congo, un bon exemple, un havre de paix, où les autorités ont beaucoup fait, pour parvenir à un accord de paix dans le département du Pool, une évolution favorable et la communauté internationale est appelée à accompagner les autorités de la Republique du Congo, dans cet élan de paix.
Audrey Fleur GALIBA,
Et crédit photos : Presse présidentielle.
Le Conseil des ministres s’est réuni ce mercredi 17 Avril 2019 au Palais du peuple.
Quatre affaires étaient inscrites à l’ordre du jour, à savoir :
- Deux (2) projets de lois au titre du Ministère de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique;
- Un (1) projet de loi portant loi d’orientation de l’action sociale, au titre du Ministère des Affaires Sociales et de l’Action Humanitaire ;
- Des nominations, aux titres respectifs, d’une part, du Ministère des Zones Economiques Spéciales et, d’autre part, du Ministère de la Culture et des Arts.
Les deux premières affaires ont eu pour objet, la mise en place d’outils de gouvernance de domaines de pointe nécessaires au développement d’une recherche scientifique performante en République du Congo. Il s’agit de deux projets de loi portant respectivement, pour le premier, création de l’institut national de recherche en sciences sociales et humaines et, pour le second, de l’institut national de recherche en sciences de l’ingénieur, innovation et technologie.
Quant au texte présenté par le ministère des Affaires Sociales et de l’Action Humanitaire, il est à noter qu’il fixe les conditions de mise en œuvre d’une politique d’action sociale proactive, notamment en direction des groupes définis comme vulnérables par la Constitution de 2015, innovation majeure en termes de volonté politique.
Au titre des mesures individuelles, le Conseil des ministres a nommé, madame Catherine Embondza, née Lipiti, administrateur en chef des SAF, hors classe de 15ème Échelon, président du Conseil d’administration de l’Agence de planification, de promotion et de développement des Zones économiques spéciales ;
M. Dieudonné Roch Massoyi-Etéka, auditeur, contrôleur interne, directeur général de l’Agence de planification, de promotion et de développement des Zones économiques spéciales ;
M. Philippe Kanga, professeur certifié des lycées, président du Conseil d’administration du bureau congolais des droits d’auteur : • président du comité de direction du Festival panafricain de musique (FESPAM) et : madameme Gisèle Bouanga-Kalou, maître-assistante à l’université Marien N’gouabi.
Le Conseil des Ministres s’est réuni ce Mercredi 17 Avril 2019 au Palais du Peuple, sous la très haute autorité de Son Excellence, Monsieur Denis SASSOU N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat.
Quatre (04) affaires étaient inscrites à l’ordre du jour, à savoir :
- Deux (2) projets de lois au titre du Ministère de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique; - Un (1) projet de loi portant loi d’orientation de l’action sociale, au titre du Ministère des Affaires Sociales et de l’Action Humanitaire ;- Des nominations, aux titres respectifs, d’une part, du Ministère des Zones Economiques Spéciales et, d’autre part, du Ministère de la Culture et des Arts.
La réunion du Conseil des Ministres de ce jour a eu à son ordre du jour des affaires dont le principal objet est, pour les premières, la mise en place d’outils de gouvernance de domaines de pointe nécessaires au développement d’une recherche scientifique performante en République du Congo.
Quant au texte présenté par le Ministère des Affaires Sociales et de l’Action Humanitaire, il est à noter qu’il fixe les conditions de mise en œuvre d’une politique d’action sociale proactive, notamment en direction des groupes définis comme vulnérables par la Constitution de 2015, innovation majeure en termes de volonté politique.
Après ce propos liminaire, entrons à présent dans le vif des textes et affaires examinés lors du Conseil des Ministres de ce jour Mercredi 17 Avril 2019.
I/- Ministère de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique.
Deux (2) projets de loi portant respectivement, pour le premier, création de l’institut national de recherche en sciences sociales et humaines et, pour le second, de l’institut national de recherche en sciences de l’ingénieur, innovation et technologie.
Invité par le Président de la République à prendre la parole, M. Martin Parfait Aimé COUSSOUD-MAVOUNGOU, Ministre de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique, a rappelé aux Membres du Conseil des Ministres qu’aux termes de l’article 2 de la loi n°15-95 du 7 septembre 1995 portant orientation et programmation du développement scientifique et technologique, l’Etat confère, je cite, « le caractère de priorité nationale à la science et à la technologie en général, à la recherche scientifique et technologique et au développement expérimental en particulier.
La science et la technologie constituent, de ce fait, le véritable moteur du développement socio-économique », fin de citation.
La loi précitée indique également, en son article 27, que la recherche est organisée dans les universités, les établissements publics et privés de recherche et les entreprises publiques et privées.
C’est au regard de tout ces éléments que le Gouvernement, par le biais du Ministère en charge de la recherche scientifique, a tenu, du 28 au 30 juin 2001, le deuxième Colloque National de la science et de la technologie, avec pour objet de définir les éléments d’une politique dynamique et cohérente en matière de recherche scientifique.
L’une des recommandations de ce colloque d’importance fondamentale pour le développement de la science, la technologie et l’innovation au Congo, a porté sur la création de sept instituts nationaux de recherche. A ce jour, quatre d’entre eux ont été créés en 2012, leurs statuts ayant été approuvés en Conseil des Ministres courant 2016.
L’Institut National de Recherche en Sciences Sociales et Humaines, établissement public administratif à caractère scientifique, porté par le premier texte soumis à l’examen et approbation du Conseil des Ministres, succédera au Centre de Recherches en Sciences Sociales et Humaines (CRESSH) créé par décret du 5 août 1997 et qui n’a jamais pu être rendu opérationnel.
La création de l’Institut aura pour objet de :
- contribuer à l’élaboration et à la mise en œuvre de la stratégie et de la politique de recherche en science sociales et humaines ; - d’organiser, conduire et exécuter toute recherche dans les domaines des sciences sociales et humaines ; - développer l’interdisciplinarité autour des enjeux et défis nationaux.
Pour ce qui concerne le second texte, qui porte création de l’Institut National de Recherche en Sciences de l’Ingénieur, Innovation et Technologie, il convient de rappeler que, là également, il s’agit de substituer celui-ci à un centre de recherche et d’initiation des projets de technologies, qui avait été créé par la loi n°12/86 du 19 mars 1986 dont les textes fondamentaux ne sont plus adaptés aux temps actuels.
D’autre part, le Ministre COUSSOUD-MAVOUNGOU a précisé aux Membres du Conseil des Ministres que la création de cet institut va permettre de prendre en compte les grandes évolutions technologiques et scientifiques intervenues dans les domaines suivants :
- les génies civil et mécanique, biologie, alimentaire, électrique et des procédés ; - les plateformes technologiques, notamment les technopoles et les parcs technologiques.
Après examen et discussion, le Conseil des Ministres a approuvé les projets de loi portant respectivement, pour le premier, création de l’institut national de recherche en sciences sociales et humaines et, pour le second, de l’institut national de recherche en sciences de l’ingénieur, innovation et technologie. Ils seront transmis au Parlement pour adoption.
II/- Ministère des Affaires Sociales et de l’Action Humanitaire.
Projet de loi portant loi d’orientation de l’action sociale.
Invitée par la Président de la République à prendre à son tour la parole, Mme Antoinette DINGA-DZONDO, Ministre des Affaires Sociales et de l’Action Humanitaire, a rappelé aux Membres du Conseil des Ministres que la Constitution du 25 octobre 2015 dispose, en son article 125, que les principes fondamentaux de l’action sociale sont déterminés par la loi, tandis que l’article 210 du même texte, dispose que l’action sociale elle même relève de la compétence des collectivités locales.
Le texte soumis à l’examen du Conseil des Ministres, outre ces exigences constitutionnelles, vise à donner au système d’action sociale en République du Congo, le fondement juridique qui lui a toujours manqué.
Centrées sur la prévention, la protection, la prise en charge et la promotion des personnes ou ménages vulnérables, les activités de l’action sociale ont pour objet de préserver ou rétablir l’autonomie de ces catégories, leur dignité, leur intégrité physique ou psychique.
La vulnérabilité quant à elle, peut résulter de l’âge, de la maladie, du handicap, d’un état de grossesse ou d’une catastrophe.
Cette précarité appelle, en contrepartie, un devoir d’assistance, la nécessité d’intervenir afin de protéger les personnes vulnérables. C’est là le sens de l’action sociale.
Il convient de placer ce postulat de l’action sociale en perspective, au regard du choix fait par le peuple constituant en 2015, d’édicter dans la loi fondamentale des mesures spécifiques en faveur des enfants, des personnes âgées, de personnes vivant avec handicap et des populations autochtones.
Concluant son propos, la Ministre DINGA-DZONDO a rappelé que le projet soumis à l’examen du Conseil des Ministres constitue un cadre de référence du dispositif institutionnel en matière de prévention, de protection, de prise en charge et de promotion des ménages et groupes vulnérables ainsi identifiés.
Prenant la parole, Son Excellence, Monsieur Denis SASSOU N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat, s’est amplement félicité de l’adoption attendue d’un tel texte, refondateur de l’ensemble de notre politiques en direction et en faveur des Congolaises et Congolais les plus vulnérables.
Cependant, il a rappelé aux Membres du Conseil des Ministres que les pouvoirs publics ont mis en œuvre, et ce depuis quelques années, une politique dynamique de gratuité ou de prise en charge par l’Etat d’un certain nombre de prestations sociales, au rang desquelles il cite notamment :
- la mise en œuvre du projet LISUNGI en faveur des ménages les plus démunis en termes de pouvoir d’achat ; - La prise en charge et/ou la gratuité des traitements et soins contre la tuberculose, le VIH-SIDA et la césarienne - La mise en œuvre d’une politique tournée vers la prise en compte des problématiques Mère/Enfant, etc.
Poursuivant son propos, le Chef de l’Etat s’est interrogé sur l’impact de ces politiques pourtant favorables à la prise en compte, au quotidien, de ces besoins essentiels aux yeux des populations visées.
Dans cette optique, il a demandé à Monsieur le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, d’inviter les Ministres animant les départements ministériels concernés, et en charge de ces problématiques, à bien vouloir en effectuer un bilan exhaustif, laquelle évaluation devra faire l’objet d’un rapport qui sera transmis au Chef de l’Etat dans les meilleurs délais.
Les Membres du Gouvernement ayant opiné à cette forte orientation du Président de la République, et après examen et discussion, le Conseil des Ministres a approuvé le projet de loi portant loi d’orientation de l’action sociale. Il sera transmis au Parlement pour adoption.
III/- Nominations.
Au titre des mesures individuelles, le Conseil des Ministres a procédé à des nominations.
- Ministère des Zones Economiques Spéciales.
Sont nommés :
• Président du Conseil d’Administration de l’Agence de Planification, de Promotion et de Développement des Zones Economiques Spéciales : Mme Catherine EMBONDZA, née LIPITI, Administrateur en chef des SAF, hors classe de 15ème Échelon.
• Directeur Général de l’Agence de Planification, de Promotion et de Développement des Zones Economiques Spéciales : M. Dieudonné Roch MASSOYI-ETEKA, Auditeur, Contrôleur Interne.
- Ministère de la Culture et des Arts.
Sont nommés :
• Président du Conseil d’Administration Du Bureau Congolais des Droits d’Auteur : M. Philippe KANGA, Professeur Certifié des Lycées;
• Président du Comité de Direction du Festival Panafricain de Musique (FESPAM) : Mme Gisèle BOUANGA-KALOU, Maître-Assistante à l’Université Marien N’GOUABI.
Plus rien n’étant à l’ordre du jour, le Président de la République a alors levé la séance.
Commencée à 10h00, la réunion du Conseil des Ministres a pris fin à 11h00.
Fait à Brazzaville, le 17 Avril 2019
Thierry LézinMOUNGALLA/-
Ministre de la Communication et des Média, Porte-parole du Gouvernement.
La délégation congolaise échange avec les autorités cubaines en charge des questions de santé
Douze mois de bourse seront versés aux étudiants congolais en médecine à Cuba sur vingt-sept mois dùs, a annoncé, le 16 avril à La Havane, le ministre des Affaires étrangères, Jean-Claude Gakosso.
Le 8 avril dernier, des étudiants congolais en formation à Cuba étaient descendus dans les rues de La Havane pour manifester leur mécontentement suite au retard dans le versement de la bourse qu’ils attendent de leur pays.
Sensible à leur revendication et interpellé par la gravité de l’acte posé par les manifestants, le président de la République a dépêché sur place une mission conduite par le ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Congolais de l'étranger, Jean Claude Gakosso et le ministre de l’Enseignement supérieur, Bruno Jean Richard Itoua, avec dans leur suite, quelques hauts fonctionnaires des ministères concernés par ce dossier.
Dans la capitale cubaine, la délégation congolaise a échangé avec les autorités cubaines en charge des questions de santé en tête desquelles le ministre Jose Angel Miranda.
Jean Gakosso, s’exprimant au nom du président de la République et du gouvernement congolais, a déclaré ce qui suit : « Vous comprenez que nous avons affaire à une jeunesse qui a mal évalué la situation du pays qui l'a accueillie généreusement. Un pays, Cuba, frappé par un embargo qui date et que nous ne cessons de dénoncer chaque année quand nous montons sur la tribune des Nations unies. Le message de notre président porte sur le pardon et les excuses officielles avec cette volonté de continuer à coopérer. Il nous faut transcender ces événements et aller de l’avant. Tirons ensemble les leçons de ce que nous venons de vivre afin que pareille situation ne se reproduise plus ».
J.C. Gakosso, B.J.Ri. Itoua, et R. Kama Nyamayoua, l’ambassadeur du Congo à Cuba, face à la communauté estudiantine du Congo.
Après la rencontre avec les autorités cubaines, Jean Claude Gakosso et Bruno Jean Richard Itoua, en compagnie de Rosalie Kama Nyamayoua, l’ambassadeur du Congo à Cuba, ont eu un face à face avec la communauté estudiantine du Congo.
Le ministre des Affaires étrangères s’est adressé à elle dans un discours dominé de conseils. « Responsabilité, respect et reconnaissance pour le pays qui vous a accueillis ! », tel est le triptyque de son message.
Puis, après avoir écouté ces jeunes gens, Jean-Claude Gakosso, comprenant leur détresse, a reconnu la légitimité de leur coup de colère tout en condamnant la méthode qu’ils ont utilisée.
Face à face avec la communauté estudiantine du Congo.
La délégation ne s’était pas rendue à La Havane les mains vides c’est ainsi que le chef de la diplomatie congolaise leur a annoncé le versement de la bourse qui est la principale revendication. Douze mois annoncés sont déjà disponibles, a-t-il assuré. Et il a promis que leur problèmes seront regardés avec toute l’attention que cela nécessite en dépit de la dureté des temps ».
Réunion du Conseil des ministres ce mercredi 17 avril 2019 au Palais du peuple sous le patronage du président de la République. L’ordre du jour de cette session porterait sur la nouvelle loi organique régissant le Conseil supérieur de la liberté de la communication, la loi d’orientation sur l’humanitaire, la création de deux instituts de recherche scientifique dont l’un pour les sciences sociales et humaines et l’autre pour la recherche et l’innovation et enfin les mesures individuelles
Passation de service entre S. Villiard à gauche et J. Mouyokani à droite sous la supervision de F Balandamio au centre.
Nommé directeur général du Centre hospitalier universitaire de Brazzaville CHU-B par décret présidentiel 2019 - 4 du 7 janvier 2019. Sylvain Villiard, de nationalité canadienne a pris ses fonctions mardi 16 avril. C'est le directeur de cabinet de la ministre de la santé qui a supervisé la cérémonie de passation de service entre son prédécesseur, Jérémie Mouyokani et lui.
Dans son mot de circonstance, Florent Balandamio a dit que la nomination de Sylvain Villiard à la tête de la plus grande formation sanitaire du Congo intègre les reformes déjà amorcées dans la mise en œuvre du plan national de développement sanitaire. Il a saisi cette occasion pour rappeler les efforts fournis par le directeur général sortant Jérémie Mouyokani.
Ce dernier, à son tour, a dressé succinctement son bilan qui indique qu’il a entre autres réaliser : l'étude de vétuste du CHU ; fait implanter la banque postale ; bancariser les salaires des agents ; élaborer le projet d'établissement et ce, conformément à sa feuille de route. Jérémie Mouyokani s’est estimé heureux d'avoir réalisé le meilleur de lui-même,
De son côté, Sylvain Villiard, directeur général entrant, entend poursuivre les efforts fournis par son prédécesseur afin d'améliorer progressivement les prestations du CHU qu'il considère comme « bateau amiral » du système de santé au Congo. Ses actions prioritaires vont être consacrées notamment à l'imagerie médicale, aux laboratoires, au transfert de connaissances ainsi qu’à l’assainissement de l'environnement, a-t-il déclaré. Pour réussir sa mission, le nouveau Directeur de CHU dit compter sur son personnel qu'il a appelé au dynamisme et à l'ardeur au travail.
Sylvain Villiard est un avocat et gestionnaire chevronné. Il a dirigé le projet de modernisation du Centre Hospitalier de l’Université de Montréal. A titre d’avocat général et secrétaire général du Centre Hospitalier de l’Université de Montréal, il a acquis une connaissance approfondie des enjeux de gouvernance, des lois régissant le secteur de la santé, du droit de propriété intellectuelle et de certains contrats à l’international.
Siar Bamba (Presse présidentielle)
Les relations que la république du Congo entretient avec la Bosnie-Herzégovine,la Croatie, la Macédoine du nord,la Slovénie et la Serbie sont excellentes. La preuve en a été donnée par l'entretien que Rodolphe Adada, l’ambassadeur de la république du Congo en République française a eu mardi 9 avril 2019 avec ses homologues Ivan Orlic de la Bosnie-Herzégovine, Filip Vucak de la Croatie, Agron Buxhaku de la Macédoine du nord, Andrej Slapnicar de la Slovénie et Rajko Rijtic de la Serbie.
Cette rencontre était inscrite dans le cadre des consultations régulières entre la république du Congo et ces anciens pays issus de l’Ex-Yougoslavie.
Au cours de la rencontre qui s’est déroulée dans une atmosphère chaleureuse et empreinte d’amitié, Rodolphe Adada et ses interlocuteurs ont abordé spécifiquement des questions bilatérales. Les relations entre le Congo et les pays issus de l’Ex-Youglosavie ont toujours été bonnes. C'était déjà le cas lorsqu’ils étaient unifiés. Pour preuve, jusqu'en 1991 année de leur éclatement des centaines d’étudiants congolais faisaient leurs études en République fédérative socialiste de Yougoslavie.
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